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Le Québec fait face à une catastrophe démographique majeure
Selon l’Institut de la statistique du Québec, déjà en 2022, ça n’allait pas bien
Quant à l’accroissement naturel, qui correspond à la différence entre les naissances et les décès, il n’a été que de 2 300 personnes. Contrairement à l’accroissement migratoire, l’accroissement naturel de 2022 est le plus bas jamais enregistré au Québec. Les décès ont augmenté de façon notable dans la dernière année, tandis que les naissances ont diminué.
Naissances en baisse
Au cours des dernières années et surtout depuis 2021, la province a observé une tendance inquiétante : une baisse des naissances couplée à une hausse de la mortalité. Cette évolution démographique a des implications profondes sur la société québécoise immédiatement mais aussi pour le futur et appelle à une réflexion sur les politiques et les mesures à prendre pour garantir un avenir équilibré.
La baisse des naissances au Québec est un phénomène complexe et multicausal. Les facteurs socioéconomiques, tels que l’incertitude économique, la précarité de l’emploi et le coût élevé de la vie, ont un impact direct sur les décisions des couples en matière de procréation. Cela a toujours été vrai au Québec.
Institut de la statistique du Québec – Naissances, décès et mariages par mois et par trimestre, Québec, 1995-2023 (juillet à décembre 2023: moyenne de la tendance) – https://statistique.quebec.ca/fr/document/naissances-deces-et-mariages-par-mois-et-par-trimestre-quebec/tableau/naissances-deces-et-mariages-par-mois-et-par-trimestre-quebec#tri_phe=3527
De plus, les mesures de conciliation travail-famille jouent un rôle crucial dans les choix familiaux. Les jeunes Québécois et Québécoises cherchent de plus en plus à établir leur carrière avant de fonder une famille, ce qui retarde souvent l’âge des premières naissances.
Autres enjeux: la crise politico-sanitaire de la covid, la vaccination et la peur changements climatique
La crise de la covid mais surtout la gestion désastreuse de cette crise au Québec en fait un caractère unique.
Ils ont fait PEUR aux jeunes, ils ont imposé une distanciation sociale (non pas sanitaire) et ils ont fait changer les habitudes de rencontres des jeunes: se trouver un(e) partenaire est devenu plus compliqué. Sans parler des divisions familiales encouragées par les gouvernements du Québec et du Canada avec la complicité des médias.
La vaccination
De plus en plus de rapports sortent sur les effets très indésirables des injections sur les fœtus, les fausses couches (pas de statistiques au Québec, seulement des témoignages reçus du personnel des maternités), les cycles de reproduction perturbés, etc.
Et surtout, l’étude de Moderna toujours en cours à ce sujet. On parle de #placentagate
More #Placentagate 🧀🧀🧀
— Jikkyleaks 🐭 (@Jikkyleaks) March 19, 2023
This could be one of the biggest scandals in medicine.
Check this out.
What do you see?https://t.co/oC6eWGguVA pic.twitter.com/hfhnJgDjWy
Déclarations de Pfizer à ce sujet aussi:
Rappel: Moderna, l'étude sur les femmes enceintes a débuté en juillet 2021 et se terminera en décembre 2023…@FNLfreedomnews
— Daniel Brisson (@DanbQc) February 3, 2023
La peur du climat
Le battage de peurologie constant des médias climato-paniqueux, encouragé par des politiques créant de l’anxiété, a eu son effet: les jeunes couples (hommes et femmes biologiques, surtout en Occident) ont PEUR de faire des enfants à cause de… du… la chaleur, l’ouragan, la pluie, la neige, etc!
Selon les données, le quart de la génération Z (25 %) affirme ne jamais vouloir d’enfant, contre près d’un millénarial sur cinq (19 %).
https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1946669/quebec-lutte-rechauffement-climatique-sondage
https://www.ladn.eu/nouveaux-usages/chiffre-jeune-ecoanxiete-solastalgie/
Mortalité en hausse
Parallèlement, la hausse de la mortalité au Québec peut être attribuée en partie au vieillissement de la population. La génération du baby-boom, née entre 1946 et 1965, atteint désormais un âge avancé, ce qui entraîne une augmentation naturelle des décès.
Les maladies liées au vieillissement, telles que les maladies cardiaques, le cancer et les troubles neurologiques, contribuent également à cette tendance à la hausse.
Institut de la statistique du Québec – Naissances, décès et mariages par mois et par trimestre, Québec, 1995-2023 (juillet à décembre 2023: moyenne de la tendance) – https://statistique.quebec.ca/fr/document/naissances-deces-et-mariages-par-mois-et-par-trimestre-quebec/tableau/naissances-deces-et-mariages-par-mois-et-par-trimestre-quebec#tri_phe=3527
L’année vaccinale pire que l’année précédente
Depuis 2021, le nombre de décès a augmenté généralement.
PIRE: dans le groupe, tout mélangé, des 0-49 ans, les décès sont en hausse! Les âges de la reproduction quoi!
Un désastre!
Corriger la tendance à la hausse ne se fera qu’à très long terme. Mais il sera très difficile.
Conséquences de cette surmortalité
Les conséquences de cette dynamique démographique sont multiples.
Économie:
Sur le plan économique, une population vieillissante peut entraîner une diminution de la main-d’œuvre disponible, ce qui pourrait potentiellement freiner la croissance économique.
Social:
Sur le plan social, la pression sur les systèmes de santé et de sécurité sociale augmente à mesure que la population âgée nécessite des soins et un soutien accrus.
Stimuler les naissances
Pour répondre à ces défis, le Québec doit envisager des mesures pour stimuler les naissances tout en gérant les conséquences du vieillissement de la population.
Cela pourrait impliquer des incitations financières pour les jeunes familles, des politiques visant à améliorer l’accès aux services de garde abordables et de qualité, ainsi que des initiatives pour promouvoir l’équilibre entre travail et vie personnelle.
Population âgée
En ce qui concerne la population âgée, des investissements dans les soins de santé et les services de soutien aux personnes âgées sont essentiels pour assurer une qualité de vie optimale et soulager le système de santé. De plus, encourager les travailleurs plus âgés à rester actifs sur le marché du travail peut contribuer à atténuer les effets économiques négatifs du vieillissement.
Conclusion
En conclusion, la baisse des naissances et la hausse de la mortalité au Québec représentent un défi complexe qui nécessite une approche multidimensionnelle. Des mesures innovantes et adaptées sont nécessaires dès maintenant pour équilibrer les besoins de la population actuelle tout en préparant l’avenir du Québec.
Si cela veut encore dire quelque chose.
L’immigration de masse (moins vaccinée et ils n’ont pas peur du climat, ils n’écoutent pas nos médias d’ici) pourra contribuer à remplacer la population historique plus rapidement. Incluant les Canadiens-français. Est-ce le plan?
#Continuons !
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