Note: pédiatrie aux États-Unis. Au Canada, manque de transparence à cet effet!
“Un cabinet de pédiatrie ne peut pas survivre… sans administrer la plupart des vaccins, sinon tous [selon le calendrier du CDC]… c’est la pression que subissent les pédiatres… cela explique [pourquoi] ils… ne veulent pas… regarder le fait que ces vaccins causent beaucoup de dommages“.
Continuer la lecture : Les cabinets de pédiatrie et l’argent du carnet vaccinal des enfants: l’argent d’abord!NOTE: Traduction d’un extrait de l’entrevue https://x.com/SenseReceptor/status/1789721537261846682
Le Dr Paul Thomas, pédiatre à la retraite, décrit lors d’une conférence de Children’s Health Defense (@ChildrensHD), le Dr Paul Thomas, pédiatre à la retraite, explique que les cabinets de pédiatrie ne peuvent survivre financièrement sans administrer aux patients le calendrier des “vaccins” du CDC, en raison de leur dépendance à l’égard des fonds fédéraux.
Contents
Des revenus substantiels
Pour son propre cabinet, Thomas note que lorsqu’il a (en grande partie) cessé de “vacciner” ses patients, il a perdu plus d’UN MILLION de dollars de revenus par an.
M. Thomas fait remarquer que les cabinets de pédiatrie gagnent de l’argent fédéral de multiples façons en “vaccinant” les jeunes enfants, notamment par des “frais administratifs”, que l’on peut considérer comme un “remerciement” pour avoir fait une piqûre et distribué une fiche d’information sur les vaccins (VIS).
Rentabilité par le nombre
Le pédiatre à la retraite note que pour la visite d’un bébé de deux mois, il y a un vaccin DCT – qui comprend trois injections (trois antigènes) – une injection de Hib (Haemophilus influenzae type B), une injection de Prevnar (vaccin conjugué contre le pneumocoque), une injection d’Hep B, une injection de polio et une injection de rotavirus ; en tout, cela représente six injections et huit antigènes.
Pour le pédiatre, cela représente 240 dollars (USD)!
Ce chiffre peut ensuite être multiplié par 30 ou 40, car c’est le nombre de nouveau-nés qu’un pédiatre peut s’attendre à voir en un mois.
Ce chiffre est ensuite multiplié à nouveau, car ces bébés viennent à plusieurs reprises à deux mois, quatre mois, six mois, neuf mois, 12 mois, 15 mois et à l’âge de deux ans.
“Cela fait beaucoup de visites”, explique Mme Thomas. “Et puis il y a les enfants plus âgés qui ont besoin de rappels…”
La santé des enfants: pas la priorité!
En outre, M. Thomas fait remarquer que “l’une des principales mesures de la qualité est la qualité de la vaccination”.
Il ajoute que “cela n’a rien à voir avec la santé de vos enfants” et souligne que lorsqu’il a étudié ses “patients vaccinés et non vaccinés”, il a constaté que “les patients non vaccinés étaient en très bonne santé – ils tombaient rarement malades. Ils se retrouvaient rarement aux urgences ou à l’hôpital pour une maladie chronique”.
“Ainsi, le fait d’être non vacciné donne des enfants en très bonne santé qui ne consomment pas beaucoup d’argent – c’est ce que tout système médical devrait souhaiter, mais c’est inversé… c’est bizarre”, ajoute Thomas.
Suivre la CDC et survivre
En raison de ce système de paiement, M. Thomas affirme qu’un cabinet de pédiatrie aux États-Unis “ne peut pas rester en activité s’il ne donne pas des soins assez proches de ceux prévus par le CDC – ce n’est tout simplement pas rentable du tout”.
Thomas poursuit :
“Un cabinet de pédiatrie ne peut pas survivre en utilisant l’assurance sans faire la plupart des vaccins, sinon tous [selon le calendrier du CDC]… C’est la pression que subissent les pédiatres et… cela explique les œillères qu’ils portent pour ne pas voir que ces vaccins causent beaucoup de dégâts.”